Sa toile "L'odeur d'une mère" a fait la couverture d'un célèbre agenda culturel de Beyrouth en février 2009.
De son univers sombre rayonne des peintures paisibles où flotte une tranquilité mystique et harmonieuse.
Lui-même qualifie la relation qu'il a avec son art de soufisme moderne.
Il priviligie la couleur noire et teintes bleutées.
Des objets qu'il peint, irradie une aura poétique.
Il y a certainement du soleil dans son pinceau.
Son nom ne provient-il pas d'Héliopolis, l'antique Ville du Soleil des romains, grecs et phéniciens qui l'ont habitée ?
Lui c'est, Oussama Baalbaki. La peinture, il sublimera à la finale des Jeux.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire